L’association loi 1901 Mieux Vivre dans les quartiers Dessaux- St Aignan – St Euverte a été créée en avril 1989 par quatre habitants du quartier : Jean Pierre Martin-Berne, Marcel Dumas, Jean Louis et Michel Weiskopf. L’objet de l’association est dès l’origine : « l’information, la consultation et la représentation des habitants […], elle agit pour obtenir l’amélioration de la qualité de la vie dans ce secteur de la ville : propreté, sécurité, circulation et stationnement, aménagement, culture, animation et éventuellement activités de loisirs. »

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En 1991, puis en 1992, l’association propose à la municipalité de Jean-Pierre Sueur de transformer le CFA installé au 108 rue de Bourgogne en « un immeuble public accessible aux associations et aux animations » (1991), « au bénéfice des associations à vocation culturelle, artistique ou sportive » (1992). L’association propose un aménagement détaillé et une répartition des différentes salles pour différentes pratiques artistiques ou culturelles. Le projet obtient rapidement le soutien d’Augustin Cornu, adjoint à la culture. Le projet est validé en 1994 et la « Maison Bourgogne » inaugurée en 1995, c’est notre actuel « 108 ».

En 2024 à l’occasion de ses 35 ans, Mieux Vivre prend un nouvel élan et devient Vivre à Orléans Bourgogne. Un nouveau nom mais une vocation intacte.

Un nouveau nom mais une vocation intacte : l’information, la consultation et la représentation des habitants des quartiers Bourgogne, Saint Euverte, Saint Aignan, auxquels nous ajoutons le quartier Chatelet.

L’objectif du nouveau conseil d’administration et du nouveau président (Romain Guigon) est de mieux faire connaitre l’association à la population et ainsi d’augmenter le nombre des adhérents, notamment auprès des nombreux parents d’élèves du quartier et des nouveaux habitants.

L’actualité de notre quartier est chargée :

• suppression des navettes O et L (la pétition lancée par notre association approche les 650 signatures)
• projet Bourgogne Villages dont les principes ont été esquissés la semaine dernière et sur l’application desquels nous seront vigilants et mobilisés
• retour à la vie du secteur des n°19 et 21 rue de Bourgogne après trois années particulièrement difficiles pour les habitants
• la question du commerce et des services (notamment de santé)qui est pour nombre d’habitants une préoccupation majeure. Rappelons qu’en 10 ans, le quartier Bourgogne a perdu un médecin, une pharmacie, une boulangerie, un bar (et agence postale)…